• Chapitre 1: Le temps de l'Amour

     

    Bonjour, 

     

    Je m'appelle Rico, Rico Malamor. Je vais vous présenter mon histoire:

    Lorsque je suis arrivé dans la ville de Willow Creek, j'avais 30 ans. J'étais un beau jeune homme ( c'est la vérité! ) sans attaches, sans contraintes, sans travail et sans sous (...). Mais, faut dire qu'a l'époque, cela ne me gêné pas plus que ça... Ma grand-mère disait de moi que j'étais ce qu'elle qualifiait de crasseux, je pouvais donc sans problème dormir sur un banc, sur le sol et même sur la terre. Cependant, je dois bien l'avouer, il était rare que je dorme dehors... j'avais aucune difficulté a passer la nuit chez de jeunes femmes, si vous voyez ce que je veux dire. Faut dire, avec mes beaux yeux claires, mes beaux cheveux brun et mon sourire ravageur, je peux dire, en toute modestie, que toutes les nanas me tombaient à genoux sans aucun efforts. Cela est sans doute dû au fait que je sois incroyablement amical ( avec les filles, les belles filles.... biensur ). Clairement, je dois bien avouer qu'a cette époque je n'étais encore jamais, au grand JAMAIS, tomber amoureux dans ma vie... et j'espérais que cela n'arrive jamais. J'aimais organiser des sorties romantiques avec l'une un soir, et séduire l'autre le lendemain. Car faut bien l'avouer, je suis quand même un incroyable séducteur. Ma plus grande crainte de l'époque, c'est que l'une d'elle m'annonce quelques semaines après notre nuit torride qu'elle attendait un moufflet. Un gosse à changer, à surveiller, à éduquer... Mon dieu qu'elle horreur... non vraiment, et je n'ai pas honte de le dire: j'avais une aversion pour les enfants très prononcée.

    Que dire d'autres sur moi.... ah oui, autre chose. En bon petit pacha, je me refusais à être contraint de travailler. Moi, Rico Malamor, devoir exécuter les ordres d'un supérieur sans broncher? Même pas en rêve, coco. Quoi? "le travail c'est santé" qu'on dit? T'as jamais entendu la suite? Moi je crois surtout la fin de la phrase: "ne rien faire c'est la conserver" Donc, par principe et pour respecter mes valeurs les plus profondes, jamais je ne travaillerais. Je préférais alors vivre dans la mendicité, et devenir le mendiant de l'amour, tout simplement.

     

    Un soir, lors d'une balade en boite de nuit, à la recherche d'une nana qui pourrait éventuellement m'héberger pour la nuit en l'échange de mes câlins les plus tendres, je vis une jeune fille seule au comptoir. Je dis jeune fille, car elle n'était pas encore une femme, une vrai quoi.... Elle était toute neuve et toute jeune. Elle venait tout juste d'avoir 18 ans. En séducteur que j'étais, je me suis approché de la demoiselle. Là, j'ai eu une drôle d'impression en moi: mon cœur s'est accéléré, mes mains sont devenues moites et je cherchais mes mots... et me concentrais à les prononcer afin de ne pas bégayer. Faut dire que la créature en face de moi n'avait rien à voir avec toutes les autres femmes que j'avais pu fréquenté: Elle était d'une beauté si rare avec ses longs cheveux roux et ses beaux yeux vert. Son visage exprimait de la douceur, de la compréhension et de la gentillesse. Je crois bien que j'étais tomber déjà amoureux de la jolie rousse. Ni une ni deux, je lui est sorti le grand jeu : mes yeux compréhensif, mon sourire ravageur, des paroles rassurantes. Ce soir là, je n'ai pas pu dormir dans sa maison, car elle tenait beaucoup à sa virginité. Elle disait " Je veux que celui qui me fera l'amour la première fois m'épouse " Très vite, après plusieurs jours de rendez vous amoureux, je lui ai demandé sa main. Trop heureuse ( tu m'étonnes, un bel étalon comme moi ), elle accepta aussitôt. J'emménagea donc le jour même dans sa maison que son père avait construit, et lui fit connaître les joies de fréquenter ceux que j'avais de plus précieux : mon organe géniteur.

     

    Voila la maison de la demoiselle. Enfin bon je dirai ma maison, parce qu' elle était aussi à moi. Bon, je vous l'accorde, beau-papa ne devait pas être architecte... ( paix à son âme ) mais bon, j'admire son courage d'avoir essayer de faire une jolie maison pour sa famille. Moi je savais que jamais je n'aurais pu le faire. La maison est composée d'un salon, d'une cuisine, de 3 chambres, de 2 salles de bains, d'une pièce pour le sport..... et voilà. C'est pas trop mal.... j'y vis et y vivais très bien avec mon épouse.

     

    En parlant de mon épouse, je vais vous la présenter également:

    Elle s'appelle Hélène, Hélène Malamor. Comme vous pouvez désormais le voir, c'était une pur beauté. Qu'elle homme aurait pu résister à cette demoiselle? Hein? Un aveugle peut être.... et encore, j'en suis pas sûr. Comme je vous le disais plus haut, lorsque je l'ai rencontré, elle quittait tout juste l'adolescence. En effet, elle avait fêter ses 18 ans une semaine plus tôt. Cette jeune demoiselle vivait seule dans la maison: ses parents étaient décédés depuis peu, et Hélène ne voyait plus son frère aîné. Celui ci se serait disputé avec son père et aurait coupé les ponts avec toute la famille... La petite était donc seule et abandonné. Le soir de notre rencontre, elle m'a donc dit qu'elle déprimait et ce demandait bien ce qu'elle allait faire de sa vie. Bien qu'elle savait son but: elle voulait devenir un génie de la musique, et avait donc trouver un emploi dans cette branche malgré son jeune âge. Et je dois l'avouer que très vite, j'ai pu remarquer son talent: c'est une vrai muse, une musicienne envoûtante et aussi un génie créatif. D'ailleurs, elle me disait qu'elle peindrait plus tard. J'ai pu découvrir aussi, après quelques semaines passées avec elle qu'elle était aussi une jeune fille soignée, et proche de sa famille. Elle me parlait sans cesse d'enfants.......

     

    Malgré mon mariage, je n'avais pas arrêté mon activité favorite. Séduire les femmes! J'aimais passer du temps avec elle, les conquérir, les embrasser, les aimer le temps d'une soirée, puis les oublier et passer à d'autres. Parfois, je m'amusait même à leur promettre des voyages, un mariage pour les plus jolies d'entres elle. Naïve, elles acceptaient toutes et .... je partais sans leur donner de nouvelles pendant un moment. Au besoin, je rompais avec elle quand je voyais qu'elle s'investissait trop dans la relation. Je sais.... c'est pas gentil, mais j'étais comme ça.

    Et par chance, il n'y avait toujours pas de polichinelle dans le tiroirs de ses conquêtes.... ni dans celui de ma femme... à cette époque.

     

    Chapitre 2: Un compromis: des gosses et des conquêtes.

     


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  • Commentaires

    1
    Samedi 28 Mars 2015 à 20:33

    Oulà ! Un séducteur héhé je l'aime déjà bien ce Rico ! J'ai hâte de lire la suite :)

    2
    Dimanche 29 Mars 2015 à 11:58

    Eh oui, le séducteur Rico est par là ^^

    3
    Lundi 6 Avril 2015 à 21:32

    Sacré caractère ce Rico, un vrai coureur de jupons ^^
    Je suis sur qu'il s'entendrait très bien avec Don ;)

    En tout cas j'aime beaucoup le début et je me met de ce pas à lire la suite

    4
    Lundi 6 Avril 2015 à 22:51

    Merci ^^ Oui, je pense qu'ils auraient pu être très bons amis également ^^

    Bonne lecture alors.

    5
    Lundi 11 Mai 2015 à 21:26

    Quel sacré numéro ce rico lol Je plains sa femme quand même!!

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    6
    Vendredi 29 Mai 2015 à 18:39

    j'adore le début, ce Rico est un sacré personnage ^^

    7
    Samedi 30 Mai 2015 à 10:35

    Merci pour vos commentaires ^^

     

    8
    Mardi 14 Juillet 2015 à 21:19

    Ah ouais carrément !! Le mec est marié mais il continue ses activités .... J'ai adore " lui faire connaitre mon organe géniteur" . :D

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