Chers lecteurs,

Aujourd'hui allait être une journée spéciale. Autant pour Jo' que pour moi ... et aussi pour papa au final.

J'étais en repos. La veille au soir, je n'avais pas manger par ... manque d'envie tout simplement. Mais à mon réveil, j'ai bien crût que j'allais mourir de fin. Alors j'ai manger le poisson fait par papa hier soir. Celui ci me tenait compagnie quand après avoir prit une bonne respiration, je lui ai dit:

- Papa.... je ne me marierai jamais avec une fille ...

- Pourquoi dis tu ça Terry ... même si tu n'as pas encore eu le coup de foudre, il v.....

- Il est déjà venu.... en la personne d'un certain Sylvain papa....

Papa est resté bouche bée. Il n'a pas répondu ... et je profita de son étonnement pour m'éclipser...

J'avais prévu d'emmener Sylvain au gymnase. Lui qui avait la trouille de se retrouver devant de sacrés gaillards se sentait plus rassuré si j'y allais avec lui. Cela ne pouvait, de toute façon, pas me faire de mal.

Sylvain semblait être content d'y aller, même si cela le fatigué d'avance. J'avais pu deviner un brin de paresse chez lui, et je l'encourageais donc à surmonter cette paresse qui l'empêcher d'être un Derek Morgan en blond. Cela l'a fait sourire. Sylvain souriait beaucoup à mes blagues et phrases. Sans le moindre effort à faire ...

Nous nous sommes donc tout les deux mis au travail. Moi, je préférais le tapis roulant. Cela me permettait d'oublier tout les soucis que j'avais.

Sylvain, lui avait opté pour la musculation. Pauvre vieux, d'ici le jour où il aura des muscles, les poules auront des dents... j'vous le dit. D'ailleurs, je m'efforçais de ne pas rire. Regardez un peu où il met ses pieds ... Ahahahah.

Pour ne pas le décourager, je lui ai dit que pour une première, c'était très bien. Mais en vrai, c'était catastrophique. Toutes les filles et tout les mecs présents se moquaient de lui ...

 C 'était d'un triste qu'a la fin de journée, je lui proposais d'aller en boîte de nuit. Lui était ravi d'y aller, il n'y avait jamais été. J'avais la sensation que je devais lui apprendre tout à tas de choses. Il avait 20 ans et en paressait 50. J'allais le dégourdir un peu, il le fallait.

Nous sommes vite passé chez nous pour nous changer. Sylvain est arrivé avec une belle chemise rose qui me laissa perplexe. 

- Tu mets une chemise rose parce que tu aimes le rose? 

- Bah oui ....

Je n'aurai pas plus d'explication ... mais cela me laissait penser que peut être que .... 'fin, y aurait une ouverture avec lui.

Au milieu de la soirée, je suis allé boire quelques cocktails. J'ai demandais à Sylvain s'il voulait en prendre, il m'a alors dit qu'il n'avait jamais bu de sa vie. Je me demandais alors ce qu'il avait fait durant 20 ans... mais il refusa catégoriquement. Il avait peur de décevoir sa maman ... c'était un coté qui m'agaçait chez Sylvain, mais personne n'est parfait ... alors je me taisais et me mis à boire seul.

Puis lorsque le jour allait bientôt le bout de son nez, au moment de se dire au revoir, j'eûs comme une pulsion incontrôlable ... et lui donna un premier baiser sur la bouche. Sylvain semblait être surpris d'autant qu'il dura un temps ... .

...puisque à ce moment là, je savais que Thierry ne sortirai jamais de ma mémoire ... Et que mon coup de foudre pour Sylvain n'en était pas un ...

Pourtant, cette nuit là, en rentrant chez moi, j'étais content car j'avais su me débarrasser d'un sacré poids: Papa savait ! Fini de faire semblant d'aimer une femme ...

Je vous laisse car Jo' veut écrire pour laisser une trace de son passage dans ce monde... et cela j'accepte pour faire plaisir au lecteur Pythonroux qui le voulait comme héritier.

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Chers lecteurs de Terry, 

Comme l'a si bien dit mon frère, je veux que plus tard mes enfants, neveux, nièces ....etc sachent que j'ai existé. Ce micro chapitre est fait pour les rassurer. 

En effet, tu peux avoir les cheveux frisés, avoir été solitaire toute ton enfance, avoir été dépressif toutes ton adolescence et y arriver dans la vie. Je vais te raconter ma première journée de travail. Je me lançais dans l'inconnu totale: la carrière scientifique.

Le matin même, je me suis sentis tellement mal ... j'avais la gorge serrée, l'estomac noué, mal au ventre malgré le fait que j'ai eu la diarrhée toute la n....

- C'est pas nécessaire de dire ça Jo' ... j'te promet ...

Tais toi, mais il me semble que pour les lecteurs, il est intéressant qu'ils sachent que la diarrhée dû au stress est liée par le fait que l'eau présente dans les selles n'est pas correctement absorbé par l'organisme du fait que le stress stimule les mouvement de  l'intestin et accélère la vitesse des selle dans le gros intestin. D'où les selles liquides! Compris? Je continue donc ...

J'étais donc pas bien du tout. J'était épuisé, ballonné, j'avais mal partout et j'avais qu'une envie: pleurer. Des questions me trottaient dans la têtes: Et si je faisais pas l'affaire? Et si mes collègues ne m'aimaient pas ...? Et si.... 

Bref que des "Et si..." finalement. L'heure arriva, et il fallut que j'aille au travail, donc.

Et il faut savoir que j'ai pas pris la branche la plus facile puisque là bas tout le monde sait ce qu'il a à faire, et que personne n'explique vraiment. J'me suis pointait devant un robot et j'ai appuyé sur quelques bouton au hasard. Le truc a fabriqué un autre truc et j'ai tout à coup, entendu un: " AAAAAAAH" si fort que j'ai crut qu'un montre état entré dans le bâtiment .... Je me suis donc retourné et ....

j'ai vu une jolie fille. Euh ... femme, je veux dire. La différence vous voulez savoir? Bah fille = petite, pas mûr, pas prêtre à se marier. Femme = femme quoi! Bon, j'avoue qu'elle a pas une coupe qui l'a mets à son avantage, mais elle a de fantastiques trait. Au hasard de notre conversation, elle m'a dit être célibataire. J'étais content de la nouvelle. Si elle a crier si fort, c'est que personne n'avait réussi à faire ce que j'avais fait. Elle m'a demandé comme j'avais fait, je lui ai dit que je ne savais pas. Elle m'a regardé, à levé le sourcil puis m'a dit "Oh.... je vois" 

L'avais-je impressionné? Ou seulement déçut? Je ne sais pas. Toujours est-il qu'elle m'a dit qu'étant nouveau et faisant ma première journée, je devais m'occuper seulement des plantes ... Super ... moi et le jardinage, j'aime pas ça. Et pourtant, je l'ai fait avec le sourire. Cet ordre venait de la jeune femme dont je suis tombé fou amoureux. N'est-ce pas formidable?

En rentrant de ma première journée de travail, je fus heureux. Pour la première fois depuis la mort de maman, j'avais le sourire au lèvre sans faire semblant. Ma journée de travail s'est bien passé, j'me suis fait remarqué par mon talent inné, et en plus j'ai rencontré la femme de ma vie. Comme quoi, la vie est un cadeau, et que tôt ou tard, tout le monde à le droit au bonheur, cher descendance de Rico Malamor et lecteur de Terry.

Merci de votre lecture.

 Chapitre 49: Une rencontre formidable

Chapitre 51: Mais jusqu'où ira mon calvaire ?