• Cher lecteurs/lectrices, 

    Avant que vous ne commenciez à lire cette histoire/challenge, je me présente: Je m'appelle Emilie, et je suis actuelle en formation pour devenir Aide-Soignante. Lorsque j'ai du temps libre, j'aime passer du temps sur les sims 4. Mais j'aime aussi beaucoup lire des histoire ou des Challenge legacy sims 4. C'est pourquoi, aujourd'hui je me lance pour créer ce blog qui sera "l'histoire de la descendance de Rico Malamor".

    Il faut que vous sachiez que ses enfants ne sont pas des générations 2, mais des générations 6. En effet, cela fait un moments que je joue avec la famille de sa femme.

    Rico Malamor est le personnage d'un défi appelé "Tranche de vie". Si vous êtes intéressez par la découverte de ce défi, vous pouvez lire les règles ici.

    Durant mon histoire, c'est Rico qui vous parlera de sa famille...

    Sur ce, je n'ai plus rien à dire...... je vous laisse donc découvrir la descendance de Rico :)

    Bonne lecture :)

     

    Sommaire 

     

    Un petit mot ....

    Generation 1:

    Chapitre 1: Le temps de l'Amour

    Chapitre 2: un compromis: des gosses et des conquêtes

    Chapitre 3: Ma vieillesse, Enrique, mes relations passées

    Chapitre 4: Mes filles, ma vie en tant que père

    Chapitre 5: Hélène et le retour des couches

    Chapitre 6: Maria et les interventions des "grands"

    Chapitre 7 : Le malheur de Selena ..... Julia

    Chapitre 8: Enrique et ses amies

    Chapitre 9: Mon amour pour la plus jolie, et les autres

    Chapitre 10: Mes filles

    Chapitre 11: Un nouveau mioche, et un lâche

    Chapitre 12: Maria et l'héritier

    Chapitre 13: Julia, Maria et mon gendre 

    Chapitre 14: Puisqu'il faut le faire

    Chapitre 15: L'amour: compliqué pour Enrique, Fabuleux pour moi 

    Chapitre 16: Maria est ado

    Chapitre 17: De la marmaille à l'horizon

    Chapitre 18: Sky ou Lucie 

    Chapitre 19: Julia Maman, les conquêtes de Maria

    Chapitre 20: La fin d'une vie 

     

    Sommaire

    Génération 2:

    Chapitre 21: La vie continue

    Chapitre 22: Je lui ai dit

    Chapitre 23: Le rencard

    Chapitre 24: Elle a dit oui 

    Chapitre 25: La bêtise de Maria

    Chapitre 26: Elle a encore dit oui

    Chapitre 27: La cérémonie 

    Chapitre 28: Qui est le papa? 

    Chapitre 29: Le destin nous dit non

    Chapitre 30: Notre quotidien

    Chapitre 31: Les années passent ...

    Chapitre 32: Un week-end à Granite Falls

    Chapitre 33: Au revoir Rico...

    Chapitre 34: Après la pluie, le beau temps

    Chapitre 35: Le terme approche 

    Chapitre 36: Déjà des anniversaires

    Chapitre 37: Terry, notre vie 

    Chapitre 38: Une heureuse nouvelle

    Chapitre 39: 4 à la maison 

    Chapitre 40: La vie suit sont cours

    Chapitre 41: La vie de famille, un délice

    Chapitre 42: Est-il amoureux ou pas?

    Chapitre 43: Le choix de l'héritier

    Chapitre 44: Savoir céder sa place 

    Sommaire

    Terry: Génération 3

    Chapitre 45: L'enfer commence

     Chapitre 46: Cœur brisé

    Chapitre 47: Ohé, quelqu'un me voit-il vraiment? 

    Chapitre 48: De nouveaux amis

    Chapitre 49 : Une rencontre formidable

    Chapitre 50: Un poids en moins

    Chapitre 51: Mais jusqu'où ira mon calvaire?

     Chapitre 52: la famille s'agrandit 

    Chapitre 53: Bienvenue Ethan 

    Chapitre 54: Bébé en route!

    Chapitre 55: Des parents heureux, des conjoints malheureux

    Chapitre 56: Les enfants, ma vie

    Chapitre 57: Une journée au parc

    Chapitre 58: Entre nostalgie et avenir

    Chapitre 59: La génération 4 est arrivée

    Chapitre 60: Le fils grandit

    Chapitre 61: Un ancien s'invite dans mon récit

    Chapitre 62: Des retrouvailles et des rencontres

    Chapitre 63: Un nouvelle age, une nouvelle vie

    Chapitre 64: Nouvelle vie à 6

    Chapitre 65: Un mariage et la naissance d'un amour

     

    ********************Le regret de vous annoncer******************

     

    Génération 4!

    Chapitre 66: Si jeune et déjà dans l'écriture

     Chapitre 67: Jeune adulte avec beaucoup de questions

    Chapitre 68: Une journée de travail mémorable

    Chapitre 69: Tout s'arrange

    Chapitre 70: Mady maman!

     


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    Bonjour, 

     

    Je m'appelle Rico, Rico Malamor. Je vais vous présenter mon histoire:

    Lorsque je suis arrivé dans la ville de Willow Creek, j'avais 30 ans. J'étais un beau jeune homme ( c'est la vérité! ) sans attaches, sans contraintes, sans travail et sans sous (...). Mais, faut dire qu'a l'époque, cela ne me gêné pas plus que ça... Ma grand-mère disait de moi que j'étais ce qu'elle qualifiait de crasseux, je pouvais donc sans problème dormir sur un banc, sur le sol et même sur la terre. Cependant, je dois bien l'avouer, il était rare que je dorme dehors... j'avais aucune difficulté a passer la nuit chez de jeunes femmes, si vous voyez ce que je veux dire. Faut dire, avec mes beaux yeux claires, mes beaux cheveux brun et mon sourire ravageur, je peux dire, en toute modestie, que toutes les nanas me tombaient à genoux sans aucun efforts. Cela est sans doute dû au fait que je sois incroyablement amical ( avec les filles, les belles filles.... biensur ). Clairement, je dois bien avouer qu'a cette époque je n'étais encore jamais, au grand JAMAIS, tomber amoureux dans ma vie... et j'espérais que cela n'arrive jamais. J'aimais organiser des sorties romantiques avec l'une un soir, et séduire l'autre le lendemain. Car faut bien l'avouer, je suis quand même un incroyable séducteur. Ma plus grande crainte de l'époque, c'est que l'une d'elle m'annonce quelques semaines après notre nuit torride qu'elle attendait un moufflet. Un gosse à changer, à surveiller, à éduquer... Mon dieu qu'elle horreur... non vraiment, et je n'ai pas honte de le dire: j'avais une aversion pour les enfants très prononcée.

    Que dire d'autres sur moi.... ah oui, autre chose. En bon petit pacha, je me refusais à être contraint de travailler. Moi, Rico Malamor, devoir exécuter les ordres d'un supérieur sans broncher? Même pas en rêve, coco. Quoi? "le travail c'est santé" qu'on dit? T'as jamais entendu la suite? Moi je crois surtout la fin de la phrase: "ne rien faire c'est la conserver" Donc, par principe et pour respecter mes valeurs les plus profondes, jamais je ne travaillerais. Je préférais alors vivre dans la mendicité, et devenir le mendiant de l'amour, tout simplement.

     

    Un soir, lors d'une balade en boite de nuit, à la recherche d'une nana qui pourrait éventuellement m'héberger pour la nuit en l'échange de mes câlins les plus tendres, je vis une jeune fille seule au comptoir. Je dis jeune fille, car elle n'était pas encore une femme, une vrai quoi.... Elle était toute neuve et toute jeune. Elle venait tout juste d'avoir 18 ans. En séducteur que j'étais, je me suis approché de la demoiselle. Là, j'ai eu une drôle d'impression en moi: mon cœur s'est accéléré, mes mains sont devenues moites et je cherchais mes mots... et me concentrais à les prononcer afin de ne pas bégayer. Faut dire que la créature en face de moi n'avait rien à voir avec toutes les autres femmes que j'avais pu fréquenté: Elle était d'une beauté si rare avec ses longs cheveux roux et ses beaux yeux vert. Son visage exprimait de la douceur, de la compréhension et de la gentillesse. Je crois bien que j'étais tomber déjà amoureux de la jolie rousse. Ni une ni deux, je lui est sorti le grand jeu : mes yeux compréhensif, mon sourire ravageur, des paroles rassurantes. Ce soir là, je n'ai pas pu dormir dans sa maison, car elle tenait beaucoup à sa virginité. Elle disait " Je veux que celui qui me fera l'amour la première fois m'épouse " Très vite, après plusieurs jours de rendez vous amoureux, je lui ai demandé sa main. Trop heureuse ( tu m'étonnes, un bel étalon comme moi ), elle accepta aussitôt. J'emménagea donc le jour même dans sa maison que son père avait construit, et lui fit connaître les joies de fréquenter ceux que j'avais de plus précieux : mon organe géniteur.

     

    Voila la maison de la demoiselle. Enfin bon je dirai ma maison, parce qu' elle était aussi à moi. Bon, je vous l'accorde, beau-papa ne devait pas être architecte... ( paix à son âme ) mais bon, j'admire son courage d'avoir essayer de faire une jolie maison pour sa famille. Moi je savais que jamais je n'aurais pu le faire. La maison est composée d'un salon, d'une cuisine, de 3 chambres, de 2 salles de bains, d'une pièce pour le sport..... et voilà. C'est pas trop mal.... j'y vis et y vivais très bien avec mon épouse.

     

    En parlant de mon épouse, je vais vous la présenter également:

    Elle s'appelle Hélène, Hélène Malamor. Comme vous pouvez désormais le voir, c'était une pur beauté. Qu'elle homme aurait pu résister à cette demoiselle? Hein? Un aveugle peut être.... et encore, j'en suis pas sûr. Comme je vous le disais plus haut, lorsque je l'ai rencontré, elle quittait tout juste l'adolescence. En effet, elle avait fêter ses 18 ans une semaine plus tôt. Cette jeune demoiselle vivait seule dans la maison: ses parents étaient décédés depuis peu, et Hélène ne voyait plus son frère aîné. Celui ci se serait disputé avec son père et aurait coupé les ponts avec toute la famille... La petite était donc seule et abandonné. Le soir de notre rencontre, elle m'a donc dit qu'elle déprimait et ce demandait bien ce qu'elle allait faire de sa vie. Bien qu'elle savait son but: elle voulait devenir un génie de la musique, et avait donc trouver un emploi dans cette branche malgré son jeune âge. Et je dois l'avouer que très vite, j'ai pu remarquer son talent: c'est une vrai muse, une musicienne envoûtante et aussi un génie créatif. D'ailleurs, elle me disait qu'elle peindrait plus tard. J'ai pu découvrir aussi, après quelques semaines passées avec elle qu'elle était aussi une jeune fille soignée, et proche de sa famille. Elle me parlait sans cesse d'enfants.......

     

    Malgré mon mariage, je n'avais pas arrêté mon activité favorite. Séduire les femmes! J'aimais passer du temps avec elle, les conquérir, les embrasser, les aimer le temps d'une soirée, puis les oublier et passer à d'autres. Parfois, je m'amusait même à leur promettre des voyages, un mariage pour les plus jolies d'entres elle. Naïve, elles acceptaient toutes et .... je partais sans leur donner de nouvelles pendant un moment. Au besoin, je rompais avec elle quand je voyais qu'elle s'investissait trop dans la relation. Je sais.... c'est pas gentil, mais j'étais comme ça.

    Et par chance, il n'y avait toujours pas de polichinelle dans le tiroirs de ses conquêtes.... ni dans celui de ma femme... à cette époque.

     

    Chapitre 2: Un compromis: des gosses et des conquêtes.

     


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  • Ma femme était une femme parfaite: elle entretenait la maison, ramenait l'argent nécessaire et surtout ne m'empêchait pas d'avoir des conquêtes. A la condition que bien sur qu'il n'y est pas d'enfants nés de ces relations. Tout marchait très bien jusqu'au jour où... ma belle Hélène désirait un mioche  enfant. Le début des ennuis a commencé seulement deux mois après notre mariage. Moi, je restais ferme et lui disait qu'on était pas prêt, qu'elle était jeune... et qu'il fallait que nous profitions de notre couple. Elle.... de son coté me faisait la tête, et le soir, bien sûr, elle faisait grève du sexe... Elle menaçait de me quitter sous prétexte qu'elle n'aurait jamais rien avec moi.Cela a duré a peine un mois. Il fallait faire quelque chose, je ne voulait pas qu'elle me quitte. Je l'aimais sincèrement mon Hélène.... et ce fut elle qui trouva la solution.

    Elle m'a alors dit:

    -" Nous alors faire tous les deux un effort:

    • Moi, je t'aime et je veux que tu sois heureux. Je sais que les femmes c'est ta vie, alors  jamais, au grand jamais de toute ma vie, je ne t'empêcherai de voir des filles, de les séduire et même de les dépuceler si tu veux. Bien sur.... je ne VEUX pas qu'un gosse naisse de ses relations. Tes conquêtes ne seront jamais source de disputes entre nous, et je t'autorise même 2 fois par semaine a découcher. 
    • Toi, si tu m'aimes et si tu veux vraiment me rendre heureuse, il te faudra me faire des enfants. Je ne sais pas combien, mais 2 au minimum. Je veux des mini-nous qui joue autour de la table, je veux entendre des rires et des pleurs, je veux avoir un petit être dans mes bras à cajoler, je veux l'aider à faire ses devoirs....... "

    Moi.... je n'écoutais déjà plus ce qu'elle voulais, et je réfléchissais à se compromis... Finalement, il me semblait plutôt honnête : avoir toutes les femmes que je voulais, en échange de 2 mômes et de la femme de ma vie? Après 5 bonnes minutes de réflexion, j'acceptais.

    A peine avait-elle entendu la réponse que ma belle Hélène arrêta la pilule.... 3 semaines et des cacahuètes plus tard, elle m'annonça que dans moins de 9 mois, nous serions trois dans notre maison.

    Chapitre 2: Un compromis: des gosses et des conquêtes

    Voilà le premier fruit de mes entrailles. Elle s'appelle Serena. Elle est née en pleine nuit la gamine... Une nuit où j'étais avec la belle Brenda qui avait de magnifique jambes.... ou peut être plutôt Angèle, avec des yeux revolver...?? Ooh, je sais plus bien.... de toute façon, je dois bien l'avouer, je n'ai plus de nouvelles d'elles. Bon, revenons à la gamine. Donc je disais qu'à sa naissance, je n'étais pas là. Hélène a accouché seule et a était transporté à l'hôpital par les ambulances. Les voisin l'ont entendu hurler et on appelait l'hôpital. Moi, quand je suis rentré le lendemain matin à la maison, j'avais un message sur le répondeur. Il fallait que je la retrouve à la maternité.

    La maternité, moi? Un lieu où les mouflets braillent tout le temps. Non merci. J'ai appelé Hélène et lui ai dit que j'attendait son retour à la maison. Seulement 3 jours plus tard, Hélène est rentrée à la maison avec la gamine. Ooh, qu'elle était moche..... avec son visage qui ressemblait à une vieille mamie. Et qu'elle braillarde! Je croyais que j'allais devenir fou avec une gosse comme elle. Hélène me reprochait mon indifférence fasse à la môme, alors de temps en temps, j'acceptais de la prendre dans mes bras lorsqu'elle me la donnait. Mais qu'on soit bien d'accord, je ne l'ai jamais lavé, jamais nourri et surtout jamais changé.

    En grandissant, elle est devenue jolie et je dois bien l'avouer, j'étais fière de ma première création. Elle est un beau mélange de moi et de mon épouse. Elle a hérité de ses beaux yeux et est comme elle, créative. Cependant, Serena semblait plus apprécier le dessin que la musique.... De moi elle a hérité de mes beaux cheveux brun et .... c'était tout. Je me demandais si comme son papa, elle deviendrais une vraie bourreaux des cœurs ?? Mais en s'approchant de l'adolescence Serena devenait de plus en plus solitaire.... et cela m'inquiétais beaucoup.

    Chapitre 2: Un compromis: des gosses et des conquêtes

     

    Voilà la n°2: Elle s'appelle Julia. Elle est née 3 ans 1/2 après Serena. Autant vous dire qu'entre deux, je n'avais pas chômé, et que j'avais rencontré de nombreuse jeunes femmes toutes aussi appétissantes les unes que les autres. Bref. Julia est née a 10h25 du matin. Contrairement à la naissances de mon aînée, j'ai pu soutenir mon Hélène lors de son accouchement. On avait opté pour un accouchement à domicile et un suivi à domicile. La sage-femme est venu pour délivrer ma pauvre épouse, puis est repartie en nous assurant qu'elle repasserai le lendemain, chose faîte.

    A la naissance, Julia me ressemblait déjà beaucoup: j'avais pu comparer avec une photo de moi bébé, et je vous assure que c'est un vrai copié-collé. Bizarrement, a la vu de ma fille, j'ai laissé échapper une larme. Très vite, elle s'est mise à crier, pleurer et je me suis ressaisi. Ce n'était qu'une môme de plus dans le foyer et mes nuit allaient une fois de plus être écourté par des pleurs interminable. Pourtant, j'ai honte de le dire aujourd'hui mais  j'avais une net préférence pour Julia : il m'arrivait de m'inquiéter bien plus que pour Serena sur sa santé et spontanément, je la prenait dans mes bras quand Hélène n'était pas dans les parages ( oui, faut as abuser non plus, les gosses c'est pas mon truc, c'est le siens )

    A 9 ans, Julia était une petite fille formidable. Autant elle avait tout mon physique, autant elle était aussi intelligente que sa maman, voir plus même. C'est une véritable génie, vous devriez la voir lors d'une partie d'échec.... elle vous met la volée en moins de deux. Elle a aussi hérité de sa maman le coté douceur dans la voix et est bienveillante avec tout le monde. Un vrai amour de petite fille. ( Comme on peut l'être en étant gosse quoi )

    Chapitre 2: Un compromis: des gosses et des conquêtes

    Et le n°3: Enrique. Lui, ce gosse..... c'est vraiment un accident! Enfin, un accident pour moi, mais pas pour sa mère croyait moi. Il fut l'objet de disputes entre ma belle Hélène et moi-même. Enrique est né a peine 18 mois avec ma Julia. Soit disant, Hélène aurait "oublié" sa pilule.... et fut bien sur tombé enceinte. Quand elle m'appris la nouvelle, je suis partie durant 5 jours avec Christina, une vrai bombe, cette fille. Je peux vous dire que j'ai passé des moment extraordinaire avec cette fille, mais... mon Hélène me manquait et je suis retourné chez moi. La voir grossir de nouveau de faisait énormément de peine, et me mettait mal à l'aise. Combin allais-je faire de mouflets avec Hélène? Ne m'avait-elle pas dit 2? Lors que je le lui ai dit, elle m'a rétorqué:

    "- J'ai dit deux au minimum... ça peut etre 4, 5 ou même 6, si je veux! T'es pas d'accord? Alors tu arrêtes avec toutes ses filles.... ou on se sépare! "

    Bref, autant vous dire qu'il fallait mieux me taire si je ne voulais pas regretter mes paroles. 

    Après 9 mois au chaud dans le vendre arrondi de ma belle Hélène, Enrique vit le jour à l'hôpital. Tout comme Serena, je ne suis pas allée le voir à la maternité. J'étais déjà assez frustré à l'idée de garder les filles pendant 6 jours. Six jours, oui... Hélène avait faire une hémorragie et il a fallut qu'elle reste plus longtemps à la maternité.

    A son retour à la maison, j'ai pu voir à son duvet qu'il serait roux. Roux comme sa mère. Il était encore plus braillard que ses sœurs et ne se calmait pas vraiment dans les bras de sa mère. Hélène était d'une patience avec lui... moi je préférais quitter la maison et revenir 2 jours plus tard. C'était désormais ma vie jusqu'à ce qu'il est 4 ans. 

    En grandissant Enrique était un enfant .... un Monstre, une terreur, une tornade. Il ne faisait que des bêtises, disait que des bêtises, grimpait là où il ne faut pas et faisait des acrobatie dangereuses sur l'échelle horizontale. Il était ce qu'on appelle turbulent. C'était un beau gamin, les gens le disaient souvent. C'est vrai... bien que je ne le supportais pas, je trouvais que Hélène et moi avions bien travaillé. Et d'après ses mêmes gens, il était attachant, toujours joyeux avec tout le monde. Moi, pour ne pas avoir a m'en occuper ( bien trop dur ce gosse ), j'étais indifférent à lui.... Comme pour compenser, mon Hélène était toujours après lui, à lui faire des papouilles, à le complimenter, et tout le tralala. Le résultat était qu'Enrique était un gosse qui ne voyait que par sa mère.

     

    Je vous ai donc présenté ma famille..... restez avec moi si vous voulez découvrir son évolution, cher lecteur :)

     

    Chapitre 1: Le temps de l'Amour

    Chapitre 3: Ma vieillesse, Enrique, mes relations passées

     

     


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    Quand je vous le dis que les mômes, ça vous donnes des cheveux blancs.... Il y a peu, je suis devenu ce que les jeunes qualifient de vieux, et ce que l'administration qualifie de sénior. Honnêtement, entre nous, moi je me qualifierai d'homme mûr. En effet, j'ai aujourd'hui un peu plus de 50 ans. Je dois bien vous avouer que mon apparence physique n'est plus ce qu'elle était: Je souffre de calvitie

    - " Quoi? Tu sais pas ce que sais? "

    J'entends mon gamin, Enrique, faire un "Hein?" comme le font si bien les ados de son âge... Vous permettez que je le débêtise une seconde:

    - " Calvitie, Enrique, OH, regarde moi quand j'te parle! C'est le fait de perdre ses cheveux....! Va faire tes devoirs plutôt que de glander devant la télévision!"

    Bon après la mise au point établie, je reprends. Je disais donc que j'étais atteint de Calvitie, que ma belle moustache qui faisait de moi un véritable apollon ne ressemblait plus à rien ( je l'ai donc raser ), que mon pauvre dos me faisait régulièrement souffrir, et que surtout, je n'avais plus besoin de sourire pour voir apparaître des rides.... elles étaient  toujours apparentes.

    - " Donc, tu peux conclure: tu es vieux ! "

    Donc, là, le petit rigolo qui se permet de s'incruster, c'est mon fils Enrique... agé de 13 ans qui se croit être un homme. Bon puisque j'en viens à parler de lui, je vais vous le re-présenter:

     

    Voila le garçon: Tout beau comme un camion comme on dit. Il y a peu de temps encore, il faisait ses acrobaties sur la barre horizontale. Il me vient une anecdote, d'ailleurs...

    - " Non, ne la raconte pas! C'est pas marrant, papa...."

    - "Veux tu te taire, et laisse moi faire, sans poil au menton!"

    - " Comique, ça ! "  qu'il me répond le gosse en levant les yeux au ciel ( autre chose que les ados font très bien )

    Une fois, alors qu'il avait 11 ans ( c'était hier quoi ),  et qu'il jouait à Chita, il est tombé de son échelle horizontale. Bien sur comme tu gosse qui se respecte, il s'est mis à brailler et ma douce Hélène a accouru en le bichonnant. Pour rassurer maman, il a fallu l'emmener de toute urgence au urgences, car il avait soit disant le poignet enflé ( chose que je ne remarquais pas.... je n'avait qu'une envie le gifler ). Nous voilà arrivés aux Urgence, quand nous nous apercevons que nous ne sortiront pas avant 5 heures. Nous prenons notre mal en patience. Je devais supporter les pleurnicheries d'Enrique et des autres mouflets de la salle d'attente et les " maman, dans combien de temps on va rentrer à la maison? " ou encore " maman, quand est qu'on part? ". Voir untel vomir, l'autre se vider de son sang. Bref, un vrai moment de plaisir quoi. Au bout d'une heure, je vis mon gosse se tortillé comme s'il avait envie d'uriner. Je le lui dit, et mon cher damoiseau...

    - " Gné..... tu voudrais pas parler comme tout le monde?" 

    - "Tu voudrais pas développer ta culture générale, mon fils. Pour ton information, damoiseau équivaut à demoiselle pour un garçon...."

    - "Ouais, bah je savais ça...."

    Bref, ne répondons pas à la provocation. Comme je disais, damoiseau me repondit que non. Une heure plus tard, il se mit a pleurer, a priori sans raison. Je commençait à m'énerver quand sa mère lui a dit:

    - Qu'est ce qu'il y a mon chéri ?( Un chéri qui est une véritable tête à claque mais bon )

    Le gosse n'eut pas besoin de répondre... il ne suffisait qu'à regarder au niveau de son petit oiseau pour voir que mon garçon de 11 ans avait fait pipi sur lui. Ahahahahah!!!

    - "Waouh! Trop drôle, en effet.... mais précise quand même que j'avais vu une immense aiguille...."

    - "Trouve pas d'excuses gamin, t'en a pas."

     

    Bref, voilà pour l'anecdocte. Aujourd'hui, je disais donc qu'il a 13 ans, et que malgré le fait qu'il soit sportif, mon fils n'est qu'un petit gringalet, qui n'a pas encore muait.  Mais, il dit qu'avec de l'entraînement, il aura un physique avantageux. C'est vrai qu'il est mince. Je pense qu'il a un bon métabolisme, mon fils. Malgré qu'il est grandi et qu'il entre dans l'âge bête, il a toujours garder son humeur joyeuse. Mais je m'inquiète quand même un petit peu: Il continu de jouer avec la peluche géante qu'il a eu pour sa naissance, et aussi a regarder des dessin animé.... j'ai bien peur qu'en grandissant, il soit immature..... Pourra t-il intéresser les filles?

    - " Rooh, mais papa... lâche moi avec ça! "

    - "Bah quoi, c'est la vie mon fils.... Les filles, les femmes nous font savoir que nous sommes vivant...."

    - "Pfff n'importe quoi.... "

    - "Tu comprendras, quand tu auras mis ta bébête dans le bijou de la femme, tu comprendras....."

    - "Rooh.... dégueulasse, t'es vraiment dégueulasse."

    Ooh, j'l'ai fâché, il a quitté la pièce.

    Tiens en parlant de fille, il me vient de belle image en tête. Mon dieu, qu'elle était jolies ses filles: Maéva, Laurette, Nathalie, et Simone. Waouh, des pires canons de la beautés. Elle ne sont pas loin derrière ma douce et tendre Hélène, j'vous le dit.

    Maéva, la belle demoiselle avec le pull rose était d'une douceur extrême. Elle était toujours d'accord avec moi, sur tout, et n'importe quoi. Elle était d'une naïveté, aussi naïve qu'une enfant de 7 ans. Je l'aimais bien, mais j'ai du la quitter. En effet, elle se projetait bien trop avec moi: elle voulait construire une maison pour y loger de la progéniture.... non merci! J'avais déjà donné quoi....

    Laurette, la sportive! Et mon dieu qu'elle sportive endurante. Aussi bien sur le béton que sur le lit, j'vous le dis. Pour la séduire, j'ai du courir avec elle durant 1 semaine, puis un jour, on a terminé le jogging chez elle dans son lit. Je dois l'avouer que ce soit là mon petit Jésus avait des difficultés à rester au garde à vous..... mais avec de l'autorité, j'ai pu garder ma réputation. J'ai aussi du la larguer...avec elle, qui était bien trop demandeuse, je serai mort à 45 ans d'un infarctus.

    Nathalie, la fleur bleue. Mon dieu, plus fleur bleue qu'elle ça n'existe pas. Déjà, elle aurait voulu me présenter à sa famille avant même que j'ai pu tâter le terrain. Chose que j'ai refusé délicatement. Mademoiselle s'est mise à pleurer et tout et tout, mais très vite j'ai trouvé les mots pour la rassurer et la consoler, et ai pu lui présenter mon organe. La coquine a très vite fait sa connaissance, et pas qu'une fois, hein. Malheureusement, elle m'a quitté. En effet, elle voulait le prince charmant, pour le transformer en étalon reproducteur.... non merci. Mais, ces soirées passaient avec elle sont des moments inoubliables.

    Et Simone.... la ... la ... bombasse quoi. Rien a redire à Simone. Elle était une femme expérimentée, qui m'a même appris beaucoup de chose....C'est dire... elle était parfaite: des seins comme personne ( bien que mon Hélène soit bien loti quand même ), un fessier comme il faut. Bref, parfaite. Jusqu'au jour où elle m'a dit avoir 3 enfants, et vouloir reconstruire sa vie, et refonder une belle et joyeuse famille recomposée. Ce soir là, j'ai filé comme un lapin, sans même me retourner.

    Toutes ses femmes ont fait de moi un homme heureux. Mais aujourd'hui, avec l'age, je dois avouer que j'aspire moins à rencontrer de jeune femme qui me rappelle chaque jour que je perds de la puissance, de l'endurance et du charme.

    Aujourd'hui, je m'occupe davantage de ma famille, pour veiller a ce qu'elle reste sur le bon chemin, et aussi pour m'assurer que ma lignée reste digne d'un Malamor : C'est à dire : Charmante, Heureuse, Amoureuse ! J'ai peur que mes enfants n'est pas hérité des Malamor....

    Je continuerai de vous raconter ma famille, mais là.... excusez je vais faire une sieste.... A plus tard peut être.

     

    Chapitre 2: Un compromis: des gosses et des relations 

    Chapitre 4: Mes filles, ma vie en tant que père 

     

     


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  • Je vous ai parler de mes conquêtes, des canons de la beautés.... il faut que je vous parles des fruits de mes entrailles maintenant.

    Mes filles, ma vie en tant que père

     

     

    Voici Julia, ma deuxième née: Julia. Elle, c'est une adolescente que l'on peut qualifier d'intello. Elle a à la fois le physique d'une intello mais aussi le caractère. Si elle n'était pas ma fille, je ne l'aurai jamais abordé. Sincèrement, la trouvez vous séduisante, vous? Non, et on est bien d'accord. Elle a 14 ans 1/2 et elle s'habille tout les jours en noir. Mais attendait, c'est pas ça le problème. Elle est toujours en pantalon ample, ou avec des tenues de grand-mère. Clairement, elle ne ressemble à rien....

    On peut dire pourtant qu'elle a de belle base: elle me ressemble physique. Elle a de beau yeux en amande, un jolie petit nez, et une jolie bouche pulpeuse. Elle a des cheveux noir.... avec une coupe à la playmobile.... ou à la Mireille Mathieu, comme vous préférez. On peut pas dire que c'est tendance. La pauvre petite est myope..., elle tient cela de son grand-père maternel. Mais elle aurait au moins pu ce trouver des lunettes dans l'air du temps.... là on dirait qu'elle a pris les lunettes de son aïeul. Ma douce Hélène n'a pas voulu la contrarié chez l'opticien, et voilà le résultat. Quel garçon censé et avec du goût voudra bécoter ma fille avec un physique pareil.

    Et si ce n'était que le physique..... Quand elle était petite, je l'avoue, elle avait ma préférence. J'aimais quand elle me disait des choses que peu de filles de son age savaient. J'aimais quand elle faisait des expériences avec le mini laboratoire, et qu'elle me faisait goûter ses potions ( après qu'elle les ai goûter, hein, je ne suis pas suicidaire ). J'étais tellement heureux d'avoir une fille intelligente. En effet, les hommes aiment avec de belles compagnes avec un minima d'intelligence. Mais là, ce n'est plus de l'intelligence, c'est de la bêtise. Elle est toujours à tout remettre en question. Quand je dis tout, c'est tout. S'en ai fatiguant à la fin....

    - " Surtout quand on est vieux!

    Le revoilà le sale gosse.... 

    - " Va à l'école! Zou! " La porte claque, les enfants sont partis, Ouf.

    Vous devriez la voir quand elle fais ses devoirs..... elle remets même les cours de ses profs en questions. C'est grave quand même. Elle rentre à 17h15 et fait ses devoirs jusqu'à 20 heures chaque soir. Cependant, il faut lui reconnaître une capacité a apprendre vite et a être douée mentalement. Elle est très perfectionniste dans tout ce quelle fait et qu'elle apprends. Elle ferait fuir Einstein s'il était encore vivant. Par contre je ne peux pas lui reprocher son coté bienveillant envers les autres. Elle donnerait tout ce qu'elle a pour rendre les autres personnes heureuses.

    Je n'ai pas besoin de vous dire qu'elle ne fréquente pas les garçons, hein.... et bien sur les garçons ne la fréquente pas... Pourvu que par la suite, elle s'améliore.

    Mes filles, ma vie en tant que père

     

     

    Ce canon là, c'est ma fille, mon aînée: Selena. Regardez un peu c'te beauté. Elle, s'en aucun doute... elle n'aurait pas été ma fille, je l'aurais abordé plutôt deux fois qu'une. Il faut reconnaître que j'y vois un peu de ma femme, mon Hélène. Selena a des yeux magnifique: quand elle vous regarde, vous ne pouvez être que troublait par cette jeune fille de 18 ans . Elle a l'age de sa mère lors de notre rencontre. Oui bon enfin presque... elle fête ses 18 ans demain. Et je dois reconnaître qu'elle à la même innocence, la même naïveté que mon Hélène.

    Ma fille est canon, certes. Pourtant, malgré son âge, elle ne m'a jamais présenté de prétendant. Cela me surprends contrairement à sa sœur. Serais-ce ma fille qui ne veut pas de petit ami? Il faut reconnaître que Selena est une jeune fille plus que solitaire. Elle adore s'enfermer dans sa chambre seule, et peindre. Elle peint de tout et n'importe quoi. Parfois, c'est des paysage magnifique, d'autres fois, c'est des portraits. Et de temps en temps elle se prends pour le peintre Ad Reinhardt ( peintre abstrait ) où le thème du tableau n'est pas évident, et est différent selon la personne qu'elle me dit. Tout comme sa mère, je peux dire que Selena est un génie créatif et une muse. Plus tard, elle veut être un peintre extraordinaire, et je sais qu'elle y arrivera.

    Elle veut exposer ses tableaux dans le musée de Willow Creek et gagner beaucoup d'argent. En grandissant, Selena est devenu matérialiste. Elle veut sans cesse acheter si... et sa et encore sa. Bref, c'est un vrai porte monnaie percée. Et si par malheur, nous ne changeons pas notre déco, sa mère et moi, mademoiselle nous pique des crises de nerfs. Bref, c'est une jeune fille avec un fort caractère, mais qui me rend tellement fière. J'espère qu'avec le temps, la jeune demoiselle s’ouvrira au monde, et laissera de coté son pinceau. 

    Les enfants sont sources d'inquiétudes, vous ne trouvez pas....?

     

    Mes filles, ma vie en tant que père

     

     

    Je vous disais précédemment, qu'aujourd'hui, j'aspirais à être heureux avec ma famille, et mes gosses. Je dois bien vous avouer que depuis qu'ils ont cessez de courir partout dans la maison, de sauter sur le lit et de pleurnicher pour un oui, ou pour un non, je suis heureux d'avoir pu construire une famille avec mon Hélène.

    J'aime la complicité que j'ai avec mes enfants. J'aime quand Selena me raconte des ragots du lycée, quand Julia me raconte pourquoi la salade est verte, et les tomates sont rouges, et quand Enrique me fait tourner en bourrique. Malgré le fait que je sois parfois ronchon auprès d'eux, j'ai le sentiments d'avoir réussi ma vie de père. Bien que j'ai fréquentais d'autres femme que leur mère, j'ai été présents ( peut être pas tout le temps comme il aurait fallut ) depuis leurs plus jeunes âges.  

    En plus, je me suis mis au sport avec mon garçon. Rappelez vous, il aspire a devenir un athlète ( j'vous cache pas, y a du boulot ) et moi j'aimerai préserver mon corps de rêve..... bien qu'a peu ramolli, je l'avoue. J'aime ce temps passer avec lui, et parfois, j'ai la surprise d'être accompagner par mes filles. Non, vraiment, je ne regrette en rien ma vie. Bon, je sais, je ne suis pas mourant, je n'ai que 50 ans mais... je me dis que si je devais disparaître demain, j'aurai accomplis des choses dans ma vie qui me tenait à cœur.

    Je souhaite désormais qu'une chose dans la vie: Que mes enfants soient heureux, et qu'il réussissent aussi bien leur vie personnel que professionnel.

     

    p.s: Message de l'auteur:

    • Vous avez la présentation de tous les enfants éligibles de Rico. J'aimerai savoir lequel d'entres eux vous préférez pour perpétuer la lignée Malamor ? Merci.
    • Le blog vous convient-il? Si non, qu'aimeriez vous voir changer? 

    Merci

     

    Chapitre 3: Ma vieillesse, Enrique et mes relations passées

    Chapitre 5: Hélène et le retour des couches 

     

     

     

     

     

     

     

     


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